CITATIONS SUR LE MONDE MODERNE

Le capitalisme fait des erreurs sociales, le socialisme, des erreurs capitales.

<= L'armée française de l'été 14

Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté - Confucius

Quand le gouvernement viole les droits du peuple (i.e. la morale naturelle, ndlr), l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs - Saint Thomas d'Aquin

Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes - Bossuet

Aprés moi le déluge - Louis XV

L'instabilité législative est un mal inhérent au gouvernement démocratique parce qu'il est de la nature des démocraties d'amener des hommes nouveaux au pouvoir - Alexis de Tocqueville - 1835

On ne ment jamais autant qu'avant les élections, pendant la guerre ou aprés la chasse - Otto von Bismarck

Celui qui connaît la vérité et qui ne la gueule pas, se fait complice des menteurs et des faussaires - Charles Péguy

Parler morale n’engage à rien ! Ça pose un homme, ça le dissimule. Tous les fumiers sont prédicants ! Plus ils sont vicelards, plus ils causent - Louis-Ferdinand Céline - Mea Culpa

En ces temps de tromperie universelle, dire la Vérité est un acte révolutionnaire - George Orwell

Puisque le peuple vote contre le gouvernement il faut dissoudre le peuple - Berthold Brecht

A l'heure où nous parlons, on jette des bombes dans les tramways d'Alger. Ma mère peut se trouver dans l'un de ces tramways. Si c'est cela la justice, je préfère ma mère - Albert Camus - 1957

Le terrorisme est le fléau de notre époque. L'organisation terroriste, parce qu'elle s'attaque à des civils innocents, parce qu'elle postule la diabolisation de l'adversaire et met en avant l'idée de responsabilité collective, reproduit ce qu'elle voulait abolir: l'arbitraire - Albert Camus - 1957

Une seule déclaration philanthrope vous ouvre des paradis fiscaux plus vastes, encore mille fois plus inattaquables que les îles Caïmans ou Panama - Philippe Muray - L'empire du bien

L'on est en train de mettre sur pied une dictature du relativisme qui ne connaît rien comme définitif et qui donne comme mesure ultime uniquement son propre égo et ses désirs - Cardinal Joseph Ratzinger

L’État existe pour nous protéger des autres. Il outrepasse ses limites lorsqu’il décide de nous protéger de nous-mêmes - Ronald Reagan

La manière dont chaque humain développe sa vie amoureuse appartient à l'intimité de la personne. Il y a des communautés de pensée, des communautés religieuses, des communautés de culture et d'origine. La république doit en limiter la prolifération et le pouvoir - Christian Vanneste - M... au lobby gay

Dieu, la famille et la patrie sont les grandes idées que les livres sacrés enseignent - Grand rabbin Jacob Kaplan - Témoignages sur Israël

Rien n’est sacré. Chacun a le droit d’exprimer et de professer à titre personnel n’importe quelle opinion, n’importe quelle idéologie, n’importe quelle religion. Aucune idée n’est irrecevable, même la plus aberrante, même la plus odieuse. Aucune idée, aucun propos, aucune croyance ne doivent échapper à la critique, à la dérision, au ridicule, à l’humour, à la parodie, à la caricature, à la contrefaçon. "Je le répéterai sur tous les tons, écrivait déjà Georges Bataille, le monde n’est habitable qu’à la condition que rien n’y soit respecté" . Et Scutenaire : "Il est des choses avec lesquelles on ne plaisante pas. Pas assez !".  Ce qui sacralise tue. L’exécration naît de l’adoration. Sacralisés, l’enfant est un tyran, la femme un objet, la vie une abstraction désincarnée. Quiconque s’érige en messie, prophète, pape, imam, pope, rabbin, pasteur et autre gourou a le droit de crier au blasphème, à l’anathème, à l’apostasie, dès l’instant que l’on persifle son dogme, sa croyance, sa foi, mais qu’il ne s’avise pas de susciter une interdiction judiciaire à l’encontre des opinions qu’il exècre ni d’en vouloir interrompre la diffusion en menaçant leur auteur selon des méthodes d’Inquisition, de charia ou de mafia, que le sens humain révoque à jamais. » -  Raoul Vaneigem - Rien n’est sacré, tout peut se dire

Un autre défi important pour l’identité de la Russie est lié aux évènements qui ont lieu dans le monde. Cela concerne les politiques étrangères et les valeurs morales. Nous pouvons voir comment beaucoup de pays euro-atlantiques sont en train de rejeter leurs racines, dont les valeurs chrétiennes qui constituent la base de la civilisation occidentale. Ils sont en train de renier les principes moraux et leur identité traditionnelle : nationale, culturelle, religieuse et même sexuelle. Ils mettent en place des politiques qui mettent à égalité des familles nombreuses avec des familles homoparentales, la foi en Dieu est égale à la foi en Satan. Cet excès de politiquement correct a conduit à ce que des personnes parlent sérieusement d’enregistrer des partis politiques dont l’objectif est de promouvoir la pédophilie. Dans beaucoup de pays européens les gens sont embarrassés de parler de leur religion. Les jours de fête sont abolis ou appelés différemment : leur essence est cachée, tout comme leur fondement moral. Et les gens essaient agressivement d’exporter ce modèle à travers le monde. Je suis convaincu que cela ouvre un chemin direct à la dégradation et au primitivisme, aboutissant à une profonde crise démographique et morale. Quoi d’autre que la perte de la capacité à se reproduire pourrait être le meilleur témoignage de cette crise morale ? Aujourd’hui presque toutes les nations développées ne sont plus capables de se reproduire par elles-mêmes, même avec l’aide des flux migratoires. Sans les valeurs présentes dans la chrétienté et dans les autres religions du monde, sans les standards moraux qui se sont formés durant des millénaires, les gens perdront inévitablement leur dignité humaine. Nous considérons cela naturel et juste de défendre ces valeurs. On doit respecter le droit de chaque minorité à être différente, mais les droits de la majorité ne doivent pas être remis en question - Vladimir Poutine - Forum de Valdaï en Russie - 19 septembre 2013

Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution d'ici demain matin - Henry Ford

Le monde est dirigé par des personnages trés différents de ce que peuvent imaginer ceux qui ne sont pas dans les coulisses - Benjamin Disraeli

Nous sommes reconnaissant au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autre grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétions depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd'hui plus sophistiqué et préparé à l'entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurèment préférable à l'autodétermination nationale des siècles passés - David Rockefeller - Commission Trilatérale - 1991

J’en arrive maintenant à un point qui est, selon moi, le ressort et le secret de la domination, le soutien et le fondement de toute tyrannie. Celui qui penserait que les hallebardes, les gardes et le guet garantissent les tyrans, se tromperait fort. Ils s’en servent, je crois, par forme et pourépouvantail, plus qu’ils ne s’y fient. Les archers barrent l’entrée des palais aux malhabiles qui n’ont aucun moyen de nuire, non aux audacieux bien armés. On voit aisément que, parmi les empereurs romains, moins nombreux sont ceux qui échappèrent au danger grâce au secours de leurs archers qu’il n’y en eut de tués par ces archers mêmes. Ce ne sont pas les bandes de gens à cheval, les compagnies de fantassins, ce ne sont pas les armes qui défendent un tyran, mais toujours (on aura peine à le croire d’abord, quoique ce soit l’exacte vérité) quatre ou cinq hommes qui le soutiennent et qui lui soumettent tout le pays. Il en a toujours été ainsi : cinq ou six ont eu l’oreille du tyran et s’en sont approchés d’eux-mêmes, ou bien ils ont été appelés par lui pour être les complices de ses cruautés, les compagnons de ses plaisirs, les maquereaux de ses voluptés et les bénéficiaires de ses rapines. Ces six dressent si bien leur chef qu’il en devient méchant envers la société, non seulement de sa propre méchanceté mais encore des leurs. Ces six en ont sous eux six cents, qu’ils corrompent autant qu’ils ont corrompu le tyran. Ces six cents en tiennent sous leur dépendance six mille, qu’ils élèvent en dignité. Ils leur font donner le gouvernement des provinces ou le maniement des deniers afin de les tenir par leur avidité ou par leur cruauté, afin qu’ils les exercent à point nommé et fassent d’ailleurs tant de mal qu’ils ne puissent se maintenir que sous leur ombre, qu’ils ne puissent s’exempter des lois et des peines que grâce à leur protection. Grande est la série de ceux qui les suivent. Et qui voudra en dévider le fil verra que, non pas six mille, mais cent mille et des millions tiennent au tyran par cette chaîne ininterrompue qui les soude et les attache à lui,comme Homère le fait dire à Jupiter qui se targue, en tirant une telle chaîne, d’amener à lui tousles dieux. De là venait l’accroissement du pouvoir du Sénat sous Jules César, l’établissement de nouvelles fonctions, l’institution de nouveaux offices, non certes pour réorganiser la justice, maispour donner de nouveaux soutiens à la tyrannie. En somme, par les gains et les faveurs qu’on reçoit des tyrans, on en arrive à ce point qu’ils se trouvent presque aussi nombreux, ceux auxquels la tyrannie profite, que ceux auxquels la liberté plairait - La Boétie - Discours de la servitude volontaire

Certainement le tyran n’aime jamais, et n’est jamais aimé. L’amitié est un nom sacré, une chose sainte. Elle n’existe qu’entre gens de bien. Elle naît d’une mutuelle estime et s’entretient moins par les bienfaits que par l’honnêteté. Ce qui rend un ami sûr de l’autre, c’est la connaissance de son intégrité. Il en a pour garants son bon naturel, sa fidélité, sa constance. Il ne peut y avoir d’amitié là où se trouvent la cruauté, la déloyauté, l’injustice. Entre méchants, lorsqu’ils s’assemblent, c’estun complot et non une société. Ils ne s’aiment pas mais se craignent. Ils ne sont pas amis, mais complices. Quand bien même cela ne serait pas, il serait difficile de trouver chez un tyran un amour sûr, parce qu’étant au-dessus de tous et n’ayant pas de pairs, il est déjà au-delà des bornes de l’amitié. Celle-ci fleurit dans l’égalité, dont la marche est toujours égale et ne peut jamais clocher. Voilà pourquoi il y a bien, comme on le dit, une espèce de bonne foi parmi les voleurs lors du partage du butin, parce qu’alors ils y sont tous pairs et compagnons. S’ils ne s’aiment pas, du moins se craignent-ils. Ils ne veulent pas amoindrir leur force en se désunissant - La Boétie - Discours de la servitude volontaire